Les activités de LATIMER s'intègrent dans un projet de développement économique et social qui postule pour une Afrique émergente.
LATIMER est l'unique institut d'études au Sénégal à disposer d'un centre dédié à l'entrepreneuriat et à l'innovation.
Fonctionnant comme un incubateur, LATIMER vise à créer une atmosphère qui favorise la recherche, l'innovation et l'esprit d'entreprise chez nos étudiants.
Notre faculté d'ingénierie est fière d'offrir aux étudiants la possibilité d'acquérir des expériences concrètes. Grâce aux laboratoires, aux formations sur le terrain et aux projets de conception, les étudiants en ingénierie de LATIMER contribuent directement à l'industrie et à la recherche dans le cadre de leur programme.
La vision du développement postule une Afrique émergente et articule trois paquets de priorités qui portent sur la croissance, la création de richesses, la valorisation du capital humain et la promotion des valeurs de bonne gouvernance, de transparence, de paix et de sécurité.
En Afrique de l’ouest, les paradigmes de l’Émergence constituent, à cet égard, le référentiel de la politique économique et sociale sur le moyen et le long terme (horizon 2035, au Sénégal). Cette nouvelle dynamique décline dans plusieurs documents, les orientations des politiques sectorielles comme, au Sénégal, la stratégie nationale de développement économique et social (SNDES2013-2017), le programme d’amélioration de la qualité, de l’équité et de la transparence (PAQUET 2013-2025), le document stratégique de réduction de la pauvreté (DSRP), le PDESER, etc.
C’est dans ce contexte que s’inscrivent les missions de notre établissement, particulièrement la mission d’insertion professionnelle, et de création d’emplois.
Pour y parvenir, il faut envisager :
- Le renforcement des liens avec les entreprises au Sénégal et dans l’espace ouest africain : En prenant le pari de développer les compétences, les connaissances et les aptitudes pratiques et techniques des apprenants, notre établissement offre une opportunité d’impulser le développement économique et social, notamment par la promotion de la culture de l’entreprenariat et des métiers, une plus grande insertion professionnelle des diplômés dans les secteurs économiques, une plus grande adéquation entre la formation et l’emploi, une capacité d’innovation dans les offres de formation et le sens du leadership. Aussi pour rendre plus compétitifs nos apprenants, l’enseignement insistera sur la maîtrise de la langue anglaise.
- La diversification de l’offre de formation : En plus du développement des compétences scientifiques et techniques, les filières de notre établissement explorent les domaines et secteurs économiques, en priorité l’industrie et les services et leur intégration en vue de former et de développer des chaînes de valeurs. En cela, nous avons prévu des cours préparatoires de mise à niveau dans les matières scientifiques pour les bacheliers des séries L, qui répondraient à des critères précis définis par le conseil pédagogique, pour intégrer certaines filières.
- La création de licences et masters professionnels, basés sur les STEM (Science, Technology, Engineering, Mathematics), directement liés au marché du travail, et fortement recommandés par les directives du Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’innovation ainsi que le CNAES (Conseil National pour l’Avenir de l’enseignement supérieur) : Les filières que nous avons créées auront comme finalité de former des agents de développement imbus de valeurs éthiques et déontologiques, capables de répondre aux besoins du marché et de mobiliser les ressources locales.
- Le respect du « standard international » des études supérieures : Notre projet pédagogique est entièrement basé sur le système LMD, avec une architecture commune des six premières filières, et une organisation pouvant faciliter la mobilité et les échanges avec d’autres institutions d’enseignement supérieur d’Afrique et du reste du monde. Aussi, notre projet est-il structuré en référence aux normes du Réseau d’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique de l’Ouest (REESAO), aux exigences en termes de recrutement de personnels enseignants chercheurs, de compétence et de grades dans la conduite des activités d’enseignement et de formation, de volumes horaires d’enseignement requis par le Conseil Africain et Malgache de l’Enseignement supérieur (CAMES), qui fait office d’instance supranationale d’homologation et d’accréditation des diplômes pour les pays francophones africains. Notre établissement intégrera parfaitement les critères d’évaluation de l’Autorité Nationale d’Assurance Qualité de l’Enseignement (ANAQ-SUP).